Chanson de là où l'œil se pose
Évidemment nous sommes ravis d’accueillir Juliette, et nous ne saurions trahir son propos, nous vous délivrons donc sans détours ses mots :
« Dans le prochain spectacle, l’argument est simple. Seule chez moi, j’attends mes copains, complices, musiciens, pour une ultime répétition avant concert. Ils arrivent et nous commençons à jouer. Seulement voilà, en cours de route, une information tombe, qui nous rappelle une actualité récente, quelque peu traumatisante. Nous sommes tenus au confinement strict à effet immédiat. Nous voici donc cloîtrés chez moi, pour une durée indéterminée. Qu’allons-nous jouer ? Où trouver l’inspiration ? Et surtout, y aura-t-il assez de bières ?
Lorsqu’il ne peut plus regarder dehors, l’œil se pose sur les objets du quotidien, les traces du passé, les souvenirs hétéroclites de nos vies rêvées et chantées, pour raconter de toutes nouvelles histoires… Des histoires d’escaliers, de poivrons, de perruques, de 2CV, de housses et de couettes et autres épisodes ironiques, nostalgiques ou douloureux. Des histoires de nous qui sommes enfermés. Et libres. »
Juliette
- « Cette diablesse de Juliette nous enchante et nous bouleverse » La Dépêche
Moyens de paiement : Carte bancaire/crédit, Chèque, Espèces
Plein tarif : de 28 à 30 €, Adhérent : de 26 à 28 €.
Période d'ouverture : Hiver
Jeudi 1er février 2024 à 20h30.