Les sous-sol de cette partie de la haute vallée de la Dordogne présentent quelques lentilles de calcaire cipolin égaré en bordure du volcanisme.
Ce calcaire a été exploité durant la période gallo-romaine comme marbre et fabrication de chaux. On en retrouve des traces dans la salle capitulaire du Monastère Saint-Pierre de Mauriac. Cette richesse locale a connu un essor particulier au 19ème siècle avec l'exploitation industriel de ce matériau. Les vestiges des derniers fours à chaux étaient de forme elliptique et chauffé au bois. On y brûlait environ 50 m cubes de bois pour produire 18 m cubes de chaux sous la conduite de 3 hommes. Il y avait en 1825, 6 fours qui effectuaient 10 cuissons par an.