Altiligérienne d'origine & Bourbonnaise d'adoption c'est avec plaisir que je vous ferai découvrir mes pépites d'Auvergne.
Une multitude d’activités dans un petit coin de paradis
Espace naturel inclus dans le réseau Natura 2 000, les gorges du Cher offrent un cadre spectaculaire parfait pour la pratique de sports dans les arbres, sur terre et dans les airs. Alors, si comme moi vous aimez les activités en extérieur suivez-moi pour découvrir ce petit paradis.
Deux tyroliennes géantes dont la plus grande tyrolienne de l’Allier
Ouvert le 14 juillet 2020, le parcours accrobranche de Marcillat-en-Combraille et ses tyroliennes sont nichés dans le bois Chingoux. Le site propose quatre parcours d'accrobranche de niveaux différents pour toute la famille (accessibles dès trois ans) et deux tyroliennes géantes (il vous faudra mesurer plus d’1,40 m, peser minimum 40 kg ainsi que passer par une initiation pour pouvoir les tester). Suspendu à un câble et surplombant les gorges de la Tartasse vous profiterez de 293 mètres dans le vide à l’aller et 322 mètres au retour. L’occasion parfaite pour admirer les paysages qu’offre cette plus grande tyrolienne du département de l’Allier.
Vallonnés, plaisants et ombragés, les sentiers de randonnée des gorges du Cher réservent de beaux paysages. De jolies balades sont possibles avec à chaque fois un magnifique point de vue sur le Cher. Des passerelles aménagées au-dessus de la rivière permettent de prolonger votre découverte, notamment entre Lignerolles et St-Genest. Elles sont d’ailleurs devenues un incontournable du désormais célèbre et périlleux trail de Lavault-Sainte-Anne (qui se déroule tous les ans fin février). Un décor de randonnée calme, sauvage, préservé et qui abrite une faune variée et une flore très riche.
Il est possible d’accéder au château de l’Ours à pied pour profiter de sa vue imprenable à 360°. Situé sur la commune de Sainte-Thèrence, il est construit sur un éperon rocheux dominant le confluent du Cher et de son affluent le ruisseau de l’Ours. La grande tour circulaire n’est autre que l’ancien donjon du château initial. Sa construction remonterait au début du XIIIe siècle. Son cadre très sauvage a favorisé la naissance de plusieurs légendes destinées à expliquer l’origine de son nom. L’une d’entre elles dit que son nom proviendrait de l’ours diabolique dompté par sainte Thérence.