Au nord du parc Napoléon III, deux bassins avec leurs jets d’eau, sont dessinés dans la même veine que ceux des grands parcs parisiens (Buttes Chaumont, parc Montsouris...). Aux beaux jours s’y ébattent des oiseaux d’ornement : cygnes, oies et canards. Une serre et un logement pour le gardien finalisent cet aménagement paysager caractéristique, fin XIXe début XXe siècle, qui borde la rue Walter-Stucki et ses villas cossues.
Un espace paysager, le long de la rue Stucki a été consacré à l’horticulture. C’est dans cette extrémité nord du parc que fut bâtie, en 1864, la serre Napoléon III. Elle était destinée à la conservation des plantes. Grâce à un calorifère, on pouvait obtenir une température de 15 à 16°, détaille Dominique Scherrer. Elle était entourée d’une production de plantes estivales pour les massifs
Bordé par le parc Napoléon III, la rue Stucki aligne une série d’une dizaine de villas construites fin XIXe, début du XXe, notamment par les architectes Percilly, Driffort ou Simon. Elles égrènent leurs styles architecturaux différent et leurs noms : « Les Saules », « François 1er », « Transvaal », « Les Origans » (1895), « Théo-Kate » (1893), « Les Turquoises ». Cette dernière construite en 1896, a hébergé le consulat du Venezuela et du Nicaragua en 1914.
Periode d‘ouverture : Ouvert toute l‘année
All year round, daily.