de la Fourme d’Ambert à la ferme des Supeyres
À notre arrivée, nous sommes accueillis par le chien Cow-Boy. C’est le gardien de l’espace de vente de la ferme, où passants et connaisseurs viennent chercher cet élément si important sur la table française. Il faut dire que, parmi la multitude de fromages produits dans l’Hexagone, les fromages auvergnats ont bien des atouts pour séduire nos papilles.
À la ferme des Supeyres, c’est l’heure de la traite. Le troupeau dans le champ voisin est conduit docilement jusqu’à l’étable. Antoine en profite pour nous montrer son « labo ». Selon les règles d’hygiène, nous chaussons des sabots adaptés pour entrer. Son fromage doit être produit dans des conditions irréprochables. Il y fait plutôt chaud et humide et nous y trouvons des moules de lait, la première étape de fabrication de la Fourme d’Ambert. Rien à voir avec le résultat final !